Pérou : deux infirmières au service des plus faibles

2040 € collectés
100 % sur 2040 € d’objectif

Nelida et Katy Carrion Velazquez sont deux soeurs péruviennes qui ont été abandonnées par leurs parents étant enfants. Elles ont vécu à l’orphelinat des « Soeurs filles de la Divine Providence » à Abancay, dans l’Apurimac, une région très montagneuse du Pérou.

Elles vivent actuellement à Cuzco, ancienne capitale de l’empire Inca, et font des études d’infirmière.

Pour financer ces études, elles ont travaillé dans le restaurant Buffet Francès à mi-temps, tenu par Antoine de Penfentenyo, neveu du père Christian. Mais actuellement en dernière année d’études, les cours et les stages en hôpital augmentant, elles ne peuvent plus travailler pour subvenir à leurs besoins.

C’est pourquoi elles ont fait appel à Caridad pour les aider à finir leurs études et pour pouvoir à leur tour, venir en aide aux malades, aux plus faibles, aux plus pauvres.

Leur souhait est d’un jour ouvrir un centre de réhabilitation pour les plus démunis, dans la région de l’Apurimac.

Quand elles le peuvent, Nelida et Katy se rendent à Abancay, à 5h de bus de Cuzco, dans l’orphelinat qui les a vu grandir. Grâce à leur expérience au Buffet Fancès, elles y aident les soeurs à la boulangerie.

Cette boulangerie tient une place très importante dans l’orphelinat : s’en est sa principale source de revenu.

Nelida et Katy mettent ainsi à profit leur expérience pour les autres. Aider les religieuses dans leur tâche, et les enfants par leur présence, leur soutien sur le terrain.

En aidant financièrement Nelida et Katy pour vivre au mieux leurs études, vous les aider concrètement sur le terrain auprès des Soeurs de la Divine Providence et vous leur donnez une chance d’ouvrir leur centre de réhabilitation pour les plus démunis, dans quelques années.

Agir aujourd’hui, c’est les aider dans le présent et le futur.

L’orphelinat des Soeurs de la Divine Providence d’Abancay a été fondé en 1964 par une religieuse allemande. Aujourd’hui la supérieure Lucina Hennes et 70 autres religieuses s’occupent de 150 filles de 0 à 18 ans victimes de catastrophes naturelles, de terrorisme ou qui ont été abandonnées par leurs parents.